Bonsoir mes ami(e)s… je viens de recevoir par mail ce document… malheureusement il s’agit d’une histoire véridique et qui ma beaucoup touche ...

Une fois j’ai cru mourir sous les coups de l’homme que j’aimais, sous prétexte de me faire avouer que je le trompé, j’ai subi le calvaire de la torture pendant plus d’une heure. J’avais mal, je sentais que la terre avait cessé de tourner. Ah mon Dieu, je me suis rendue compte à quel genre d’homme j’avais affaire, un brut, un sauvage comme il en existe rarement. Il éprouvait un plaisir sadique en me faisant du mal, à me rabaisser, me torturer et moi comme une sotte, soumise que j’étais, j’acceptais tout en croyant qu’un jour il changera mais au contraire son comportement ne faisait qu’empirer et je me retrouvais prisonnière dans la grande forteresse de douleur. Après cela, j’ai décidé de faire face à ce monstre et de me révoltée ; j’ai déposé plainte mais je l’ai retiré juste après ses menaces j’avais terriblement peur mais une chose était claire ma décision était ferme je ne voulais plus être son esclave.

J’ai quitté cet homme et me suis remariée avec un autre qui me respect et qui n’a pas besoin de me battre pour m’aimer. Cet homme est exemplaire, il m’estime, m’adore et me gâte. Enfin j’ai réussi à sortir de la gueule du loup.

Cette petite histoire est un témoignage pour dire qu’il ne faut jamais se laisser battre par quelqu’un, tout être humain a de la valeur, il ne faut jamais l’oublier. Le bonheur n’est pas de vivre avec la peur au ventre au quotidien et de dire que votre partenaire changera un jour. Si un homme vous bât, dites vous qu’il ne vous aime pas et ne vous respecte pas, du fait qu’il ne respecte pas votre humanité et votre droit au respect.

« Notre âme a plus de capacité pour le plaisir que pour la douleur. Une douleur violente fait taire tout sentiment agréable, tandis qu’un plaisir vif ne peut étouffer le sentiment d’une douleur violente. » (Maine de Brian).

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Un enfant, assis contre un arbre, malheureux,
Regarde le ciel de ses prunelles bleues.
C'est la seule chose qui lui donne de la joie.
Ici, personne ne lui parle car blanc il n'est pas

Autour de lui tout le monde rit
Et on ne l'invite même pas à participer.
Il leur est interdit de jouer avec lui
Car ce sont leurs parents qui l'ont décidé.

Dans les rues, chacun le regarde comme une bête sauvage
Qui que ce soit et à tout âge.
Alors, il rentre chez lui les yeux remplis
De larmes qui coulent sans répit.

Les gens n'ont jamais compris,
Durant toute la vie de cet enfant,
Qu'il était comme eux un être vivant
Avec un cœur mais qu'ils ont détruit.